Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

"méthode SIMURGH" Martial Mattard

Derniers commentaires
Archives
Catégories
"méthode SIMURGH" Martial Mattard
25 février 2011

Les couleurs

Publicité
29 janvier 2011

les thérapies brèves

 
 

 

Qu’est-ce que la thérapie brève …

 

 

On peut résumer l’objectif de la thérapie brève de   la façon suivante : résoudre rapidement et efficacement la plupart   des problèmes vécus par un individu.

 

Qu’est ce qu’un "problème"   … ?

 

Rien de mieux que de citer les «pères» de la   thérapie brève eux-mêmes :

 

« La vie n’est qu’une suite   ininterrompue de difficultés ; un problème  est la même   difficulté qui revient encore et encore» (dixit R. Fish – J.   Weakland)

 

Le modèle de la thérapie brève présente des   spécificités très précises qui font toute son originalité, sa richesse et son   attrait ; parmi ces caractéristiques, on relèvera les suivantes :

                                                                                                                   
   

   
   

Le passé du patient client importe peu dans le processus     thérapeutique. Ce qui sert de     matériel de travail thérapeutique c’est le présent de l’individu et ses     désirs pour le futur, non ce qui est terminé et irrévocablement     inchangeable.

   
   

   
   

La logique qui sous tend l’intervention en thérapie brève n’est pas     la compréhension des « causes profondes » du problème mais la     recherche de stratégies de changement dans la réalité concrète et actuelle de     la personne : la thérapie brève part du présent et regarde le futur !

   
   

   
   

La plupart des problèmes s’inscrivent dans un contexte relationnel     (couple, famille, travail…). Il est essentiel d’explorer les interactions     en jeu, les caractéristiques des relations au sein desquelles apparaît le     problème.

   
   

   
   

Un « symptôme » n’est pas nécessairement significatif en     thérapie brève. Dans cette démarche, il n’y a pas d’étiquetage du     patient selon son symptôme car un même symptôme peut avoir des     significations différentes selon la culture, les habitudes familiales et     sociales, l’époque… Son     interprétation est donc inintéressante pour le processus thérapeutique …

   
   

   
   

Tout changement, même minime peut avoir des conséquences bénéfiques,     par ricochet, sur l’individu et sur toutes les personnes avec lesquelles il     est en relation.

   
   

   
   

La thérapie brève part du principe que les     « patients-clients » ont en eux la force et les ressources pour     changer. La thérapie est une     véritable collaboration au cours de laquelle le thérapeute, expert en     thérapie, se base sur les capacités du patient client qu’il considère comme     l’expert de sa vie et de sa thérapie !

   
   

   
   

L’intervention se doit d’être courte : ici, pas de traitement qui dure des années ! Le patient client souffre de son problème     maintenant et souhaite aller mieux le plus vite possible. C’est dans une optique d’amélioration     rapide que travaille le thérapeute. L’efficacité de la thérapie n’est proportionnelle ni à sa durée ni à     l’argent investit dans le travail thérapeutique.

   
 


 

La thérapie brève :
La thérapie brève repose sur l'idée que nos soucis, nos angoisses et beaucoup de nos souffrances proviennent plus de notre façon de vivre et de ressentir les événements que les événements eux-mêmes.
Mises au point aux États-Unis dans les années soixante, elles sont basées sur le repérage de ces réactions disproportionnées par rapport à la réalité, sur leur dépassement et leur remplacement par d'autres réactions plus appropriées.

Nos réactions spontanées induites par nos schémas cognitifs correspondent à l'ensemble des croyances et des convictions intimes que nous entretenons sur nous-mêmes et sur le monde.

Le but de la thérapie brève est de déceler ces schémas pour les modifier.
Le thérapeute joue un rôle actif et directif, tout en entretenant avec le consultant une relation "collaborative".

Avec lui, il analyse le problème à résoudre, l'aide à trouver la démarche la plus appropriée, met en place un plan précis (meilleure compréhension de soi, définir ou redéfinir ses objectifs, trouver les freins éventuels, "déterrer" et remplacer les bénéfices secondaires, préparer le terrain en planifiant les étapes et les ressources éventuellement nécessaires, etc.) afin de passer à l'action.

Objectifs :

- Apprendre à se définir, à se positionner
- Retrouver confiance en soi
- Se débarrasser d'un comportement limitant
- Apprivoiser ses peurs
- Comprendre comment on réussit, comment on échoue !
- Comment définir ce qui est important pour soi
- Comment générer de nouvelles capacités
- Changer un état émotionnel limitant
- Changer ses croyances limitantes
- Transformer un "état phobique"
- Développer sa créativité
- Apprivoiser sa jalousie
- Apprendre à se faire comprendre, à communiquer
- Trouver le chemin de l'autonomie
- Etc.

Pour faire des miracles, il suffit de redevenir ce que vous êtes vraiment. Une simple synchronisation, relier l'être qui un instant est sorti de son cadre de vie, connaître ou recon-être sa trame de vie, inscrite dés la naissance.

"Connais-toi toi même est-tu connaitras les Dieux et les Mondes ..."

Si vous espérez, vous débarrasser du stress ou de tout autre problème d'ordre physique, si vous êtes aux prises avec des émotions négatives, telles que la colère ou la dépression, ou encore, si vous cherchez tout simplement des moyens de donner plus de sens à votre vie, ces techniques ont quelque chose à vous offrir.

Contact: Martial Mattard - Tél 06 07 64 50 14 - Cabinet 02 35 63 06 06

29 janvier 2011

Géobiologie " les TOXIQUES"

Dans son livre "Toxemia explained", le médecin américain John H Tilden avait souligné que :
"ce qu'on désigne par maladie n'est autre que les efforts de la nature à éliminer des poisons du corps. Toutes les maladies traduisent des crises dues à l'accumulation d'intoxications, ce qui englobe naturellement les substances nocives de tout genre, en particulier les substances acides".
L'élimination de tous ces toxiques dans le but d'assainir notre milieu biologique acquiert une importance particulière de nos jours.

Le médecin allemand (et auteur réputé), le Docteur Ruediger Dahlke, consacre dans son livre "Wege der Reinigung - Entgiften, Entschlacken, Loslassen" tout un chapitre à la désintoxication qu'il considère comme une base essentielle pour mener une vie saine :
"Sur la base de la constitution génétique de nos cellules, nous pourrions, en fait, vivre 130 à 140 ans, mais l'encrassement prématuré, surtout celui des vaisseaux, empêche (et nous ôte l'envie) d'atteindre cette longévité"

 
 

"A l'état physiologique, il   n'existe absolument pas de polluants dans le corps, et en ce qui concerne les   "valeurs limites" annoncées, il ne s'agit pas de valeurs au-dessous   desquelles il n'y a pas de danger pour la santé, mais bien de décisions   politiques arbitraires basées sur un calcul coût / bénéfice, pour voir   jusqu'où on peut restreindre l'économie et sacrifier la santé.
  La publication de "taux admissibles" de polluants chimiques   "acceptables" par jour est un scandale, alors que nos   "experts" devraient savoir que le propre du vivant est d'accumuler   l'information sans jamais la perdre !
  Cet amoncellement de pollution finit par provoquer des dégats irréversibles   au niveau de nos organismes qui, fragilisés ou déstabilisés, manifestent   ainsi de plus en plus de troubles et de pathologies."

  Jacqueline Bousquet.
 

 



Alimentation, un peu d'histoire ...

La paléomédecine est l'étude, sous l'angle médical, des ossements et restes humains préhistoriques.
Elle permet d'évaluer l'âge probable du squelette à la mort de l'individu et d'observer d'éventuelles pathologies des os, comme des séquelles de tumeurs, d'infections, etc ...

La paléomédecine confirme l'hypothèse que les maladies dégénératives progressent avec la civilisation, et ce depuis son début, à savoir bien plus longtemps qu'on ne l'imagine communément ! Ainsi l'évolution agro-alimentaire et culinaire de ces derniers millénaires semble bien être la cause principale, sinon quasi unique de la gravité des maladies infectieuses, aujourd'hui dans les pays du Tiers-Monde, et autrefois en Occident. Elle semble également déterminer la gravité des maladies dégénératives, notamment dans les pays développés.

 
 

"90% des pathologies   auraient une cause environnementale déterminante (c'est-à-dire une cause   principale sans laquelle la maladie n'existerait carrément pas). Le seul   facteur alimentaire couvre 50 à 70% des cas."

 



Sur le plan uniquement de l'alimentation, quatre facteurs principaux sont à la base de cette détérioration de la santé :

  • Nos      ancêtres mangeaient des viandes et poissons sauvages riches en acides      gras Oméga 3, acides gras qui ont malheureusement totalement disparus      chez les animaux domestiques de notre époque.
  • Ils      consommaient ces produits crus, ou cuits à basses températures. Les modes de      cuisson actuels sont responsables de la création d'un grand nombre de      produits très toxiques et cancérigènes.
  • Nous      avons introduit dans l'alimentation moderne des produits laitiers animaux, qui étaient totalement      inconnus dans la préhistoire.
  • L'introduction      des céréales      (inconnues également) très diétotoxiques sous leur forme non germées comme      nous les consommons aujourd'hui.

(Un diétotoxique est une substance qui rend inassimilable un nutriment (anti-nutriment) ou rend indigeste un aliment. Un diétotoxique est donc facteur de troubles digestifs et de carences paradoxales, malgré un apport nutritionnel "théorique" correct).




La chaleur modifie la structure chimique des aliments

Les cuissons supérieures à 100 - 120° C génèrent de nombreuses espèces chimiques nouvelles, dont la toxicité et la cancérigénicité sont maintenant prouvées expérimentalement.

Les graisses sont considérablement oxydées par le chauffage et la conservation prolongée. Ces graisses oxydées produisent des oxydations en cascades (réactions en chaîne des "radicaux libres") dans les tissus de notre organisme, et sont l'une des causes majeures du vieillissement prématuré et des maladies cardio-vasculaires.

Mais les graisses ne sont pas les seules dénaturées : tous les aliments le sont.
Les acides aminés deviennent hautement toxiques dès 120°, les protéines sont transformées par le "processus de Maillard" qui polymérise un mélange de sucre et d'acides aminés. C'est la raison de la toxicité de la croûte du pain et de tous les produits "caramélisés".

La plupart des toxiques dangereux apparaissent entre 110 et 140°, et au-delà, leur quantité augmente de façon exponentielle.

La limite des 110° ne devrait donc JAMAIS être dépassée pour la cuisson des aliments.



Éviter les TOXIQUES


Depuis 150 ans environ, nos sociétés "modernes" déversent dans la nature des quantités incroyables de déchets, résidus et produits toxiques.

"L'espèce humaine n'a jamais été aussi vulnérable par rapport à son environnement, et particulièrement par rapport aux perturbations qu'elle-même y introduit. Le problème est avant tout celui de l'environnement urbain où bientôt 90% de la population vivra, alors que les sources d'exposition aux toxiques et aux champs électromagnétiques ne cessent de s'y multiplier"

dans l'alimentation : 

La campagne est de plus en plus souillée.

Elle est devenue une source de contamination chimique importante pour ceux qui y vivent, et pour les citadins qui mangent les produits agricoles
traités :

 
 

8500 insecticides, herbicides et fongicides différents   sont utilisés en agriculture intensive pour obtenir les légumes, les fruits   et les céréales que nous avalons quotidiennement. L'agriculture industrielle   française est la plus grosse consommatrice européenne de pesticides, avec   près de 100.000 tonnes de produits utilisés par an.

 



Les terres agricoles sont également contaminées par des métaux lourds toxiques (mercure, plomb, cadmium), et un nombre impressionnant de bactéries et virus, par une habitude tout à fait courante qui consiste à répandre dans les champs des boues en provenance des stations d'épuration des eaux usées, quand ce ne sont pas les eaux usées elles-mêmes, extrêmement polluées, surtout quand elles proviennent des grandes villes et des industries. Les diverses substances dangereuses qui y sont rejetées se retrouvent ainsi dans les champs où poussent les légumes que nous mangeons.

Un autre problème qui commence a être connu : "L'utilisation des boues des stations d'épuration dans les farines destinées à l'alimentation animale semble répandue au niveau national" (comité interministériel du 16 avril 1998)

En fin de chaine, c'est toute l'alimentation qui se trouve polluée...

dans l'air : 

Le 16 juin 1999, l'OMS révèle des résultats d'une enquête sur la pollution automobile en France, Suisse et Autriche : Dans l'ensemble des 3 pays, la pollution aurait causé la mort prématurée de 21.000 personnes (dont 17.629 en France), par maladie respiratoire ou cardiaque.

dans l'eau : qui devient de moins en moins potable.

Le cocktail chimique de la pollution aérienne, disséminé par le vent et la pluie, retombe notamment sur les terres agricoles où il se mêle aux pesticides, aux nitrates, aux métaux lourds et à tous les polluants qui souillent déjà les sols et les récoltes. Au fil du temps, ces substances s'infiltrent jusqu'aux nappes phréatiques et reviennent vers l'homme, notamment dans l'eau destinée à sa consommation. Malgré les traitements de purification, les traces de cette pollution restent souvent importantes, et dans certaines localités, les stations de traitement des eaux ne parviennent même pas à ramener ces substances sous la limite réglementaire. C'est le cas en particulier en Bretagne, où dans de très nombreuses communes, l'eau n'est plus potable.

 

dans nos appartements : 

 

Depuis la première crise pétrolière, et l'élévation constante des coûts de l'énergie, la société a fait un très grand effort pour obtenir une isolation parfaite dans les appartements et sur les lieux de travail, au détriment d'une bonne aération naturelle. Parallèlement, nous avons de plus en plus abandonné les produits naturels, pour développer l'utilisation incontrôlée d'un nombre incroyable de produits chimiques d'origine industrielle, dont nous ne savons rien des effets toxiques à faibles doses à long terme.

Ces dangereux produits chimiques sont répandus en permanence par les peintures, moquettes, panneaux de bois agglomérés, colles, tous les sprays et aérosols, photocopieurs, vêtements nettoyés chez le teinturier, désodorisants, parfums, etc... etc...

On appelle les émanations de ces produits chimiques dans l'atmosphère de nos appartements, des "Composés Organiques Volatils" et leurs "prénoms" sont : Formaldéhyde, Xylène
, Toluène, Benzène, Trichloréthylène, Chloroforme, Ammoniac, Acétone...

C'est une pollution insidieuse, dont on parle peu, mais qui se manifeste par une myriade de symptômes diffus : irritation des yeux, enrouement, maux de gorge et de tête, troubles de l'attention, irritabilité, que l'on a tort de mettre sur le compte de la fatigue ou du surmenage. C'est indéniablement une grande cause de vieillissement prématuré, car nous y sommes soumis en permanence.

Plus de 900 composés organiques volatils ont été identifiés, dont certains à des concentrations cent fois supérieures à la normale !

Se protéger contre les COV passe d'abord et comme TOUJOURS par une prise de conscience et une attention particulière concernant toutes les petites choses de tous les jours. En particulier le choix des produits d'entretien, l'aération correcte et régulière de votre appartement, le choix du mobilier (certains panneaux de bois agglomérés dégagent encore 10 ans après leur installation, plus de formaldéhyde que la norme autorisée à la vente aux USA), éviter la multiplication des moquettes qui sont parmi les principales sources d'émission de COV.

Ensuite, il faut savoir utiliser les plantes d'appartement dont certaines sont de véritables "dévoreuses" de COV : Aglaonema, Ficus, Spathiphyllum, Dracaena, Lierre, Chrysanthème, Phalangère, Sansevière, Kentia, Dieffenbachia, vous débarrasseront d'une grande partie des COV.

Quand vous achetez des produits ou matériaux pour votre maison, choisissez toujours des produits portant le label : "Produits écologique-ment et socialement corrects". Sans être la solution idéale, c'est déjà une démarche positive.

Si vous avez des travaux importants à faire, pensez que le BOIS (s'il n'est pas traité chimiquement), est un matériau très sain. Il respire, aide à ajuster la température à l'intérieur, favorise la ventilation, stabilise l'humidité et filtre l'air. Pour le protéger contre l'humidité, les moisissures, les champignons et les termites, traitez le à l'huile de lin et à la cire d'abeilles.

La PIERRE est robuste, saine, non polluante (sauf le granit = radon), mais ne vieillit pas toujours bien lorsqu'on l'expatrie.

La TERRE CUITE (briques) est un excellent matériau de construction et d'isolation.

 


Métaux lourds et gaz toxiques

Le mercure : 

On le trouve partout : dans les thermomètres qui se cassent, dans les alliages dentaires, les éviers et les poubelles des dentistes, dans des produits antiseptiques comme le Merfen (qui a maintenant été modifié), et dans un grand nombre de produits que les industriels ont rejeté massivement dans la mer depuis bientôt deux siècles. Le mercure est l'un des produits les plus toxiques pour l'homme et la nature.

A forte dose, il peut provoquer des troubles neurologiques graves et irréversibles, à petites doses, il provoque insomnies, fatigues, perte d'appétit et faiblesse musculaire, à doses légèrement plus élevées, tremblements, problèmes rénaux et auditifs, difficultés respiratoires (et on est encore loin de connaître réellement les effets à très long terme, sur la santé globale d'infestations à doses homéopathiques comme les infestations par de petits amalgames dentaires)

En France, plus de 12 tonnes par an servent à fabriquer des thermomètres dont la durée de vie moyenne est de 1 mois !

Or un seul gramme de mercure suffit pour contaminer 400 litres d'eau, ou 1 m3 de terre.

Parvenu dans les sédiments, il est transformé par des bactéries en méthyle-mercure et va se concentrer dans la chaîne alimentaire. Lorsqu'il se retrouve finalement dans la mer (où tout finit par aboutir un jour ou l'autre), il est absorbé par le plancton, lequel est mangé par les petits poissons et les crustacés et mollusques (qui filtrent tous les jours quantité de litres d'eau et concentrent de fortes quantités de produits toxiques), puis dévorés par les gros poissons prédateurs tels le thon, qui concentre des quantités alarmantes
de métaux lourds : mercure, plomb et cadmium.

Si vous ou vos enfants cassez un thermomètre à mercure, ne laissez JAMAIS vos enfants jouer avec ces "petites boules de métal liquide si amusantes", et SURTOUT, ne les ramassez JAMAIS avec un aspirateur, car le mercure est liquide et il sera recraché, vaporisé à l'arrière de l'aspirateur, créant des intoxication aiguës.

La DGS (Direction Générale de la Santé) en France a signalé des cas d'intoxication de familles entières, suite à des bris de thermomètres dont le contenu, mal ramassé avait durablement contaminé la pièce.


Le cadmium : 

 

En ce qui concerne le cadmium, on ne connaissait pas ses propriétés toxiques avant les années 50, mais les américains ont commencé à l'utiliser après la seconde guerre mondiale, pour protéger des récipients destinés à recevoir des aliments, et en particulier dans les réfrigérateurs.

Il y a eu à ce moment là des intoxications spectaculaires à Alger suite à du transfert de vin dans des brocs cadmiés.

Le cadmium est présent chez l'être humain en très petite quantité (un microgramme chez le nouveau-né) mais l'accumulation au cours de la vie fait que l'on trouve chez l'adulte des doses de 30.000 à 40.000 fois plus (30 à 40 milligrammes) !

Le cadmium s'accumule de manière transitoire dans le foie, puis passe dans les reins. Lorsque la concentration dans les reins dépasse 200 mg par kilogramme, il en résulte des lésions irréversibles.

Le cadmium semble être souvent à l'origine de maladies dont les causes restent mystérieuses, comme la fibromyalgie.

Les fumeurs
s'exposent fortement au cadmium : une cigarette pèse un gramme, et contient un microgramme de cadmium. Ce dernier étant très volatil, il passe dans la fumée, et le taux d'absorption de ce métal par voie pulmonaire atteint 50%.

Le taux
de cadmium dans le sang d'un fumeur est d'ailleurs très souvent deux fois plus élevé que dans celui d'un non-fumeur.

Plusieurs cas de problèmes de santé dont la cause semble être une trop forte concentration de cadmium dans l'organisme m'ont été soummis ces derniers mois.

Le cadmium peut être éliminé de la même manière que le mercure (voir chapitre précédent)

 


L'aluminium : 

Particulièrement dangereux, ce métal devrait être totalement et définitivement proscrit de tout ce qui se rapporte à l'alimentation, alors même qu'il continue gaillardement à être présent partout : casseroles (en particulier les grandes marmites utilisées pratiquement dans TOUTES les collectivités), barquettes des plats "préparés", le célèbre "papier alu" qui emballe les restes ou les sandwiches du pique nique, gourdes, etc...
et surtout utilisé par la plupart des stations de traitement des eaux potables pour capturer les particules argileuses en suspension dans l'eau que la population consomme.

 
 

Or l'aluminium est connu pour jouer un   rôle important dans le développement de certaines maladies neurologiques   dégénératives, comme en particulier la maladie d'Alzheimer, ainsi que dans la   déminéralisation des os.

 



Une étude menée par des chercheurs de l'INSERM sur 75 communes de Gironde et de Dordogne entre 1988 et 1998 révèle que les communes délivrant une eau contenant un taux d'aluminium égal ou supérieur à 100 mcg/l comptent en moyenne deux fois plus de cas de démences dégénératives !

Une étude canadienne récente conclut que le risque de développer la maladie d'Alzheimer est 2,5 fois plus élevé lorsque la teneur en aluminium dans l'eau dépasse 100 milligrammes par litre, et qu'une consommation même minime d'aluminium entraîne des troubles de la mémoire et du comportement pouvant aller jusqu'à la dépression.

En octobre 1998, la revue "Politique Santé" révèle des excès significatifs de cancers de la vessie et de démences dégénératives chez les anciens ouvriers de l'aluminium d'une usine Péchiney à St Jean de Maurienne.

► En 1992, des chercheurs finlandais ont mesuré les teneurs en aluminium de divers aliments avant et après qu'ils aient mijoté dans des casseroles en aluminium : après 15 minutes de cuisson, la concentration de ce minéral dans l'eau est multipliée par 398, et lorsqu'un peu d'acide (citron, vinaigre) est ajouté, le taux d'aluminium est multiplié par 945 !
Des aliments acides comme le cassis ou la rhubarbe "boivent" jusqu'à 170 milligrammes par kilo.

En conclusion : éliminez l'aluminium de votre vie !


Le fluor : 

Les indications portant sur les risques du fluor pour la santé se multiplient dans la littérature professionnelle.

Lorsque la bouche est colonisée par de mauvais germes, le fluor augmente la libération du mercure des amalgames, et la transformation du mercure méthyle bivalent en mercure méthyle monovalent très toxique.

Le fluor est un générateur non spécifique d'allergies, il augmente la prédisposition de l'organisme à réagir à des substances allergisantes.
Le docteur Hans Nieper a signalé que le fluorure de sodium favorise la survenue de cancer.
L'addition de fluorure de sodium dans l'eau potable a entraîné une augmentation de 15% de l'incidence du cancer...

L'administration de fluor aux enfants aurait entraîné une baisse des capacités cérébrales, de l'agitation motrice, de l'anémie, des cheveux clairsemés et surtout des troubles considérables des défenses immunitaires avec pour conséquence des infections respiratoires répétées et des otites moyennes.

Ces craintes émanant de sources scientifiques très sérieuses et multiples, devraient suffirent pour inciter à ne pas utiliser des comprimés de fluor chez l'enfant, pas plus que du dentifrice au fluor ou de l'eau potable fluorée, et cela jusqu'à ce qu'une mise au point claire et définitive soit établie sur les risques encourus.

 

Le radon : 

 

Le radon est un gaz radioactif, parfaitement inodore, qui s'échappe des terrains granitiques ou volcaniques.

L'inhalation de ses produits de dégradation est la principale source d'exposition aux rayonnements ionisants dans la plupart des pays (OMS 1987). Dans certaines régions, le radon atteint localement des taux assez élevés pour poser un sérieux problème aux habitants.

Montant dans le sous-sol des maisons, il peut pénétrer dans les caves et dans les pièces du rez-de-chaussée , et s'y accumuler dangereusement, provoquant des risques de cancer non négligeables. Selon une estimation allemande de 1995, 7% des cancers du poumon seraient dus à l'exposition domestique à ce gaz.

Mais le problème du radon ne doit pas seulement être posé en termes de fortes doses, car il ne faut pas oublier que les doses de radiations reçues au cours d'une vie s'additionnent sans réversibilité, aussi faibles soient-elles, et qu'à ce titre, toutes les expositions doivent être prises en considération.

Quand le radon n'est émis que par le sous-sol, il est facile de ramener la radioactivité ambiante à un niveau raisonnable, en assurant une bonne aération et ventilation des sous-sols, d'aménager un vide sanitaire sous les maisons afin que le radon se disperse. Par contre, il n'y a pas de solution quand la construction elle-même est faite avec des roches contenant du radon, car le radon est émis directement par l'ensemble des murs de la maison. Dans ce cas, il n'existe pas d'autre solution que de détruire la construction.

En France, l'ampleur du problème concerne principalement la Bretagne, le Massif Central, les Vosges, le Limousin, la Loire, la Corse.

 

Les ions positifs : 

 

Toute atmosphère en vase clos se charge peu à peu en ions positifs.
Les ions positifs sont dévitalisant.

L'énergie mécanique de frottement est capable d'arracher un électron à un grain de sable lors des tempêtes, ou à une molécule d'eau dans les cascades et les vagues. Ces électrons négatifs sont libérés dans l'air, et sont très revitalisant et énergisants, mais peuvent être trop excitants pour certaines personnes sensibles.




La pollution électromagnétique

L'électricité est à la base de l'activité de toutes les fonctions vitales :

Dans chaque cellule du corps se trouve une petite "pile électrique" que l'on appelle "mitochondrie". C'est elle qui apporte son énergie à la cellule, et qui est donc à la base de la vie.

Le coeur, le cerveau, les muscles sont commandés par des signaux électriques. 

La pollution électromagnétique importante de notre environnement peut interférer avec les courants électriques de faible intensité de notre organisme, et provoquer des effets biologiques indésirables ayant des répercussions importantes sur la santé.

De nombreuses études ont mis en évidence un certain nombre de problèmes de santé provoqués par une exposition à des champs électriques et électromagnétiques : Maux de tête, malaises, nervosité, irritabilité, dépression, difficultés de concentration, insomnies, diminution des défenses immunitaires, acidification de l'organisme, diminution de la sécrétion de mélatonine, et enfin, à plus long terme, risque de cancers, leucémie, tumeurs du système nerveux...

Dans le cas d'expositions à des champs très intenses (ligne à haute tension, émetteurs TV de forte puissance) une étude Américaine de 1990 conduite pendant 15 ans a décrit comme conséquences possibles sur le corps humain, leucémie et destruction partielle du système nerveux central.

Or dans notre société moderne nous sommes en permanence plongés dans :

1. des champs électriques émis par tout fil parcouru par un courant : lignes haute tension, câbles électriques, rallonges, cordons d'alimentation, appareils électriques non raccordés à la terre, structures métalliques, lits et sommiers métalliques, (mais également bois s'ils sont en contact avec des câbles électriques), couvertures électriques, matelas à eau, radio-réveils, lampes de chevet etc...

2.  

3. des champs magnétiques, qui sont émis par les moteurs électriques, les transformateurs, radio-réveils, sèche cheveux, écrans, convecteurs, panneaux rayonnants, compteur électrique, chauffage par le sol, installations électriques non parallèles, etc...

Toutes les étude sur le système immunitaire montrent clairement qu'il faut dormir dans une zone saine ,il est donc extrêmement important d'éloigner des lits tous les appareils électriques, et de veiller à obtenir des valeurs faibles de champ électromagnétique dans la chambre à coucher


Le téléphone portable est de plus en plus sur la sellette. On sait maintenant qu'une utilisation prolongée peut être très nocive pour le cerveau.

Les fours à micro-ondes (en dehors du fait que tout aliment qui en sort est un aliment MORT), peuvent être extrêmement dangereux si la porte n'est pas parfaitement étanche.


Le Tabagisme :


Il n'est plus nécessaire de parler des méfaits du tabac...
suffisamment de campagnes ont été lancées sur ce sujet... mais il n'est pas inutile d'en rappeler...     les sombres perspectives :

Dans son dernier numéro, la revue NutriNews rappelle que les spécialistes estiment que le tabac serait la cause de 60 000 décès prématurés par an : un fumeur régulier sur deux ayant commencé à fumer à l'adolescence mourra victime du tabac.
Et les projections à l'horizon 2025 ne sont guère optimistes : elles prévoient 168 000 décès prématurés, avec une multiplication par deux des décès masculins et par ... 10 des décès féminins.

En Europe, la situation devient inquiétante. En France, un adulte sur trois fume régulièrement. Si les femmes fument encore un peu moins que les hommes (31% des femmes, contre 42% des hommes), leur consommation est en constante augmentation; celle des adolescentes excéderait même celle des garçons.

 Le tabagisne au féminin : Autre observation inquiétante, la proportion de femmes enceintes continuant à fumer lors de leur grossesse serait également en augmentation (15% en 1981, 25% en 1995), en dépit des risques encourus par le foetus et le nouveau-né.

L'impact du tabac sur la santé est donc considérable, notamment en ce qui concerne la morbidité et la mortalité par affections pulmonaires, par cancers et par maladies cardio-vasculaires. Une raison, mesdames, pour arrêter de fumer et pour convaincre vos filles de ne pas commencer...
Le statut hormonal de la femme lui assure une certaine protection contre les maladies cardio-vasculaires (cœur et vaisseaux). Mais le tabac réduit cette protection, en favorisant la formation de caillots, en abîmant les parois des vaisseaux et les rétrécissant

.
 Fertilité en baisse : Par ailleurs, pilule et tabac ne font pas bon ménage. Leur association augmente le risque cardio-vasculaire. Il est conseillé d'éviter la contraception orale après 35 ans chez les fumeuses. Le tabac gêne le bon fonctionnement des œstrogènes, d'où une baisse de la fertilité, une ménopause anticipée de deux ans environ, et une augmentation de la fragilité osseuse, responsable de fractures chez les fumeuses.

Le tabac diminue aussi l'arrivée de sang et d'oxygène vers la peau : la peau devient plus terne, perd de sa souplesse, et les rides sont plus profondes et plus précoces.

Chez les femmes enceintes enfin, le tabac augmente les risques de grossesse extra-utérine, de fausse couche, d'accouchement prématuré, de faible poids de naissance et de mort subite du nourrisson. Et fumer en présence de jeunes enfants favorise chez eux les infections et les allergies (bronchites, otites, rhinopharyngites, asthme, etc.).




Les enfants et les toxiques

Le faible poids des enfants rend l'apport en substances dangereuses beaucoup plus important :
Comparé à un adulte de 70 kilos qui mange une pomme par jour traitée avec des insecticides et contenant des résidus d'engrais et de métaux lourds, un enfant de 10 kilos mangeant la même pomme avale en fait une dose de produits toxiques sept fois supérieure ! Et la même opération se reproduit pour tous les légumes et les fruits traités qu'il consomme...

Un autre exemple :

 le plomb.   Métal lourd très dangereux, responsable du "saturnisme", est présent dans nombre de canalisations d'eau, et dans un grand nombre de produits. Alors que chez l'adulte, le plomb n'est absorbé qu'à 10%, le taux d'absorption chez les enfants en bas âge peut atteindre 50% et plus.

Rien qu'en Ile de France, 70.000 jeunes enfants sont exposés à ce risque dans les logements dont les vieilles peintures murales au plomb s'écaillent et tombent sur le sol où ils jouent.

Attention aussi aux risques ponctuels dus à la présence de produits toxiques dans un grand nombre d'objets avec lesquels les enfants sont susceptibles de jouer, et je pense en particulier aux thermomètres de jardin ou de balcon contenant du mercure (voir ci-dessus).

 

 
 

Nous vivons désormais dans un environnement où se   mêlent à notre insu d'innombrables facteurs de risques, notamment des   milliers de substances chimiques différentes. L'air que nous respirons, les   aliments et les boissons que nous avalons, les produits que nous manipulons   quotidiennement, les matériaux que nous côtoyons à la maison ou au travail en   sont chargés... De surcroît, s'y ajoutent chaque année des centaines de   nouvelles molécules mises au point par l'industrie chimique, et trop souvent   lancées dans le commerce avant que leur toxicité à long terme n'ait été   sérieusement évaluée...

 



Désolé de vous avoir imposé ce survol "catastrophique", j'espère qu'il ne vous aura pas trop démoralisé, mais qu'il aura su vous convaincre que
l'évitement et l'élimination des toxiques, dans notre vie de tous les jours, représentent un immense pas vers une amélioration de la santé.



Une partie des informations données dans ce dossier sont tirées du très officiel
"Rapport sur les risques sanitaires liés à l'environnement",
rapport remis au premier ministre Lionel Jospin, en novembre 1998, par
André Aschiéri,
député des Alpes Maritimes, et publié en
librairie en septembre 1999, et dont voici l'avant-propos

 
 

"La catastrophe a déjà commencé" : "Depuis peu, certaines maladies connaissent une   véritable explosion : cancers, asthme, allergies, affections neurologiques,   affaiblissement du système immunitaire...
  La France est particulièrement touchée.
  Ainsi, en dix ans seulement, les cancers du cerveau ont augmenté de 46%, les   lymphomes ont progressé de 67%, et le nombre de cas d'affections pulmonaires   s'envole... de nombreux indices nous conduisent à suspecter les facteurs   environnementaux : l'ampleur et la rapidité de cette évolution dans l'ensemble   des pays développés, la nocivité des substances chimiques et des   perturbations physiques auxquelles les populations de ces pays se trouvent   exposées, et la multiplication incontrôlée de ces agressions apparaissent aux   yeux des spécialistes comme autant de motifs convergents justifiant ces   soupçons."
 

 





Résumé des principales mesures à prendre :

 
 

Tabac : à éliminer   TOTALEMENT, bien sûr ! Attention au "tabagisme passif" !!!
 
  Médicaments :
  à utiliser avec discernement, ils présentent souvent beaucoup d'effets   secondaires nocifs, et l'utilisation exagérée des antibiotiques les a rendus   de moins en moins efficaces. Il existe des alternatives naturelles de   prévention et de "retour à la santé" qui sont bien plus efficaces,   renseignez-vous.
 
  Alcool, café :
  Réduisez votre consommation de café à un ou deux par jour, remplacez-le par   du thé vert, limitez la consommation l'alcool à un ou deux verres de vin   rouge de qualité par repas.
 
  Choix et achat des aliments :

 


  Lisez les étiquettes ! Ce   n'est pas toujours facile, mais c'est une habitude à prendre. Bien sûr,   référez-vous aux indications données dans les autres rubriques. Achetez vos   légumes régulièrement par petites quantités en privilégiant la fraîcheur, de   préférence produits BIO bien sûr, mais chez des fournisseurs fiables pouvant   garantir la fraîcheur.
 
Voir "Vous êtes responsables"
 
  Conservation des aliments :
  Rejoint le paragraphe précédent : ne conservez pas les légumes, même   au réfrigérateur, pendant plusieurs jours : vous perdrez la plus   grande partie des vitamines.
 
  Préparation des aliments :
  Ne faites jamais tremper longtemps vos légumes dans l'eau, vous perdrez une   grande partie de leurs nutriments, ne les pelez pas avant cuisson, ne les   coupez pas en trop petits morceaux... Selon les régions, il peut être   nécessaire d'utiliser de l'eau minérale pour le lavage et la préparation de   vos aliments, l'eau du robinet étant trop polluée.
 
  Cuisson des aliments :
  Toujours cuisson douce, à températures basses, de préférence avec un   couvercle en forme de "cloche". Ne grillez JAMAIS les viandes ou   poissons, et en tout cas n'ingérez jamais les parties fortement grillées ou   brûlées.
 
  Aération des appartements :
  Régulièrement, au moins une fois par jour, ouvrez tout et faites correctement   renouveler l'air ambiant.
 
  Évitez les insecticides :
  Pour éloigner fourmis, moustiques ou autres insectes, il existe une quantité   d'anciennes recettes très efficaces, et des solutions par la géobiologie...
 
  Prudence avec les produits d'entretien :
  Utilisez avec modération tous les produits d'entretien, une réduction d'au   moins 50% est possible chez la plupart des gens. Préférez toujours les   produits biologiques ou non polluants, modérez l'utilisation de tous les   "spray".
 
  Choisissez des matériaux sains :
  Pour vos travaux de rénovation et décoration, choisissez des produits avec   label NF environnement, ou "écologique-ment et socialement   corrects"
 
  Chambre à coucher saine :
  éliminez tous les appareils électriques, toutes les ondes nocives de votre   chambre et dormez toujours dans une   chambre bien aérée et non chauffée.

 




25 janvier 2011

Qu'est un SIMURGH



simurgh1





De grande taille, puisqu'il pouvait transporter un chameau ou un éléphant, l'oiseau mythique Simurgh fait montre d'une grande animosité envers les serpents. Son habitat naturel est un lieu où l'eau se trouve en abondance. Dans un récit iranien antique, il est dit que le Simurgh vit 1700 ans avant de plonger de lui-même dans les flammes, et dans d'autres récits plus tardifs, il est dit qu'il est immortel et possède un nid dans l'arbre du Savoir.

D'après la légende iranienne, il est dit que cet oiseau est si vieux qu'il a déjà vu trois fois la destruction du monde. Pendant tout ce temps, Simurgh a tellement appris qu'on pense qu'il possède le savoir de tous les âges.
Il connait le passé, le présent et le futur.

Quand le Simurgh s'envolait, les feuilles de l'arbre du savoir tremblaient, causant la chute des graines de toute les plantes. Ces graines se répandirent dans le monde, prenant racine pour devenir chaque espèce de plante ayant jamais vécu, et guérissant toutes les souffrances de l'humanité. On dit que ses plumes étaient couleur de cuivre, et bien qu'il soit initialement décrit comme un chien-oiseau, il a ensuite été connu soit avec une tête d'homme soit avec une tête de chien. Il est naturellement bon et le contact avec ses ailes peut guérir toute maladie ou blessure.

Le poète Persan Ferdowsi raconte comment il sauva le prince Zal. Zal, fils du Roi Siyam était né albinos. Quand le Roi Siyam vit son fils albinos, il pensa qu'il avait la marque des démons, et abandonna l'enfant dans la montagne. Les pleurs de l'enfant arrivèrent aux oreilles du Simurgh au cœur tendre, qui vivait en haut de cette montagne, et l'oiseau récupéra l'enfant et l'éleva lui-même. Zal acquit beaucoup de sagesse en aimant Simurgh, qui possédait tout le savoir, mais quand il arriva à l'âge d'homme, il eut envie de rejoindre les siens. Bien que le Simurgh devint terriblement triste, il lui fit cadeau d'une seule plume dorée qu'il devrait brûler s'il avait besoin d'assistance.

Après son retour dans son royaume, Zal tomba amoureux et épousa la belle Rudaba. Quand vint le temps de la naissance de leur fils, le labeur fut long et terrible. Zal était certain que sa femme mourrait en couches. Rudaba était proche de la mort quand Zal décida de faire appel au Simurgh. Le Simurgh apparut et lui apprit à faire une césarienne, sauvant ainsi Rudaba et l'enfant, qui deviendrait plus tard le plus grand héros persan, Rostam.

25 janvier 2011

La Sophologie

Sophrologie

La Sophrologie est une école du positif de l’être : "toute stimulation positive sur n'importe quelle partie de la conscience a une répercussion positive sur la totalité de l'être." L’application de ce principe permet de progresser vers plus d’épanouissement, de bonheur, de communication, d’amour.

Les principaux domaines d'application sont :
Gestion du stress et de l'anxiété,
Développement de la confiance et de l'affirmation de soi,
Préparation à l'action : examens, épreuves sportives, évènements majeurs de la vie privée et professionnelle,
Accompagnement aux changements,
Travail sur la concentration et la mémoire,
Amélioration du sommeil,
Accompagnement de situations de sevrages (alcool, tabac, …),
Accompagnement des traitements (chimio, maladies chroniques, sclérose en plaques),
Évolution personnelle et professionnelle,
Créativité...

Un souffle de bien-être pour apprendre à gérer ses émotions. Efficace !

C’est pour moi ?
Émotif, hyper sensible, fragilisé par un événement, atteint de phobies ou d’addictions, cette méthode de relaxation dite dynamique est idéale car tout en douceur. Fondée sur l’autohypnose, la sophrologie apprend à se distancer de ses sensations et donc à pouvoir appréhender et vivre les situations sans être dominée par ses émotions.
C’C’est quoi ?

Mis au point en 1960 par le Dr Alfonso Caycedo, psychiatre colombien, cette méthode est une synthèse des techniques orientales de méditation, de yoga et de relaxation occidentale. Elle sert à développer la conscience de façon à harmoniser le corps et l’esprit, en chassant peurs, angoisses et tensions liées au stress. C’est un peu comme une re-programmation du psychisme, un bourrage de crâne positif, qui permet en une dizaine de séances hebdomadaires de se recadrer dans un environnement devenu plus sympathique.
Ça se passe comment ?La sophrologie est basée sur des exercices respiratoires et des mouvements coordonnés permettant une détente physique pour accéder à la détente mentale. Elle contribue à réguler le rythme du cœur, du cerveau, de l’abdomen, favorisant ainsi l’harmonie intérieure.
Assis ou allongé en solo, on apprend à se détendre physiquement par un jeu de respiration et de visualisation de chaque partie du corps (de la tête aux pieds), au son de la voix du sophrologue. Il n’y a aucun contact physique. Une fois détendu (10 à 20 min selon l’état de tension), il nous fait accéder aux régions supérieures de la conscience par des exercices de visualisation/concentration, différents selon la pathologie de chacun. Ça fait ressortir les émotions, des souvenirs… C’est très apaisant et efficace (j’ai testé il y a quelques années à la suite d’un choc émotionnel).

Publicité
25 janvier 2011

Atelier de lecture d'Auras à Rouen

Atelier " le Lotus le samedi 09 Avril 2011 de 13h00 à 19h00 "

Inscription  : Librairie le Lotus à Rouen :02 35 O7 46 34 / contact@librairielelotus.com

Lecture d’Aura

L’Aura champ d’énergie subtil qui anime tous corps vivant.

Ce champ d’énergie est perceptible par tous, quelle est son utilité ?

Celui d’une aide en thérapie psychique et énergétique de notre monde.

S’entrainer à la lecture d’aura ne relève pas un acte magique ou d’autre travail assidu sur des exercices précis.

La lecture d’aura est la capacité de développer en soi l’éveil pour percevoir le monde sous un angle plus large et plus élevé.

 

Objectif du stage :

Aborder les différentes perceptions de l’aura.

- En vision directe et en écriture automatique.

- Décoder les chocs émotionnels.

- Identifier les conséquences sur le bien être (dates, natures, etc...)

Cout 60 €

 

 

20 janvier 2011

principe

basé sur des expériences

ce blog  est en cours de création

Publicité
"méthode SIMURGH" Martial Mattard
Publicité
Publicité